2016

Open Studio/exhibition MassMoca studios for artists

 

2016

 

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2015

Open Studio Artist-in-residence 

August 27th

East Side International, Los Angeles, USA

 

2008

Monobandes, videos by international artists

24th to November 11th, 2008

Gallery Les Territoires, Montreal, Canada

Curated by the team of Les Territoires, Monobandes is a group exhibition featuring of 24 national and international video artists among which many CIAM student members. After receiving an outstanding number of submissions, Les Territoires has selected 27 videos, that collectively offer a new perspectives on the contemporary video art practices. Divided into four different programs, the goal of the exhibition Monobandes is to create an exchange between artists and diverse artistic approaches.

Organisée par les membres de l’espace Les Territoires, l’exposition Monobandes réunit les vidéos de 24 artistes nationaux et internationaux dont plusieurs membres étudiants du CIAM. Suite à la réception de nombreux dossiers, l’équipe Les Territoires a procédé à une sélection de 27 vidéos qui, une fois combinés, permettent de dresser un portrait d’ensemble de la pratique de la vidéo d’art actuelle. Présentée en quatres programmations, l’objectif de l’exposition Monobandes est finalement de créer un dialogue inusité entre ces diverses démarches artistiques.
ARTISTS
Alyssa Andrews / Montreal.
Sarah Bronsard / Montreal.
Hoping Chen / U.K.
Micheline Durocher / Montreal.
Emilie Franceschin / Toulouse.
Erika Kierulf / Montreal.
Vincent Lafrance / Montreal.
Antti Laitinen / Finland.
Frédéric Lavoie / Montreal.
Robert Lendrum / Toronto.
Jacinthe Lessard / Montreal.
Michael Markowsky / Los Angeles.
Helena Martin Franco / Montreal.
Toban Nichols / San Francisco.
Christoph Oertli / Brussels.
Robert Pearre / New York.
Laurent Pernot / Paris.
Gautam Rao / Indianapolis.
Meera Margaret Singh / Montreal.
Anita Schoepp / Montreal.
Catherine Tremblay / Montreal.
Natalia Valencia / Montreal.
Deke Weaver / Illinois.
Karen Zalamea / Montreal.

Les Territoires
Belgo Building, 372 Ste-Catherine St. W #527, Montréal Qc, H3B 1A2
info@lesterritoires.org www.lesterritoires.org

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2007

La collection 2

October 4th

la Chambre Blanche,

Quebec, Canada

 

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2003

Petites leçons de lecture

October 10th to November 9th, 2003

Gallery Vu,  Quebec, Canada

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2003

Transmission

Patrick Bureau and Micheline Durocher

McClure Gallery, Westmount, Canada

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2003

Unexpected encounters

Micheline Durocher, Christine Horeau, Marie-Christine Simard, Cydra MacDowall, Gail Bourgeois

Richmond, British Columbia, Canada

 

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2001 

Portraits

September 10- Octobre 5

Gallery Sagamie, Alma, Canada

 

 

La Galerie de l’Atelier d’estampe Sagamie présente du 10 septembre au 5 octobre 2001 une exposition des œuvres de Micheline Durocher intitulée « Portraits ». « Pour le projet d‘exposition « Portraits » à l’Atelier d’estampe Sagamie, je me suis demandé ce qui arriverait si l’on pouvait porter la bouche d’un autre? Comment puis-je t’écouter ainsi? Cette incorporation de l’autre me touche et me déstabilise. Quelles histoires peuvent en émerger? Si tu portais mes dents? Comment répondrais-tu entre mes dents? »

Le travail présenté à l’Atelier d’estampe Sagamie provient d’une recherche que l’artiste poursuit depuis plusieurs années soit la récupération et l’utilisation de son propre dossier médical. Parmi les fragments et traces institutionnelles recueillis dans ce dossier, les rayons X des dents et de la bouche évoquent une procédure médicale qui crée en quelque sorte une archive de notre identité, une archive de soi. Ces images/empreintes prises grâce à un contact intime avec le corps perméable aux rayons-x représentent en effet une sorte de biographie en profondeur et en transparence. Ces images de dents désincarnées qui sont en fait lues et scrutées pour y percevoir des signes de désintégration, de corruption ne demeurent-elles pas le moyen privilégié par les coroners pour identifier une personne en cas de décès?

« Ces clichés au rayon-x ont pour moi une double nature qui me semble contradictoire. Ils sont d’une part extrêmement personnels, un fragment absolument intime de la personne et pourtant ils sont au même moment tout à fait anonymes pour le spectateur de cette exposition, capables d’effacer toutes traces de notre subjectivité et signes de notre identité, race ou sexe. Ce sont ces contradictions qui m’intéressent et qui m’amènent à considérer le rayon-x comme un artefact de soi, de la vie et de la mort… »

Micheline Durocher présente depuis plusieurs années un travail multidisciplinaire dans lequel elle traite des notions d’identité, de communication et de la représentation scientifique du corps. Dans son travail d’installation, elle a recours à l’infographie, à la photographie, à la gravure et aux livres d’artiste. Durocher détient une Maîtrise en arts plastiques de l’Université Concordia et un Baccalauréat de l’Université du Québec à Montréal. Elle présente son travail en solo à l’Open Studio de Toronto, à la Windsor Printmakers Gallery et à la Malaspina Printmakers Gallery de Vancouvert. L’artiste participe également à de nombreuses expositions de groupe dont « Proximités » à la galerie Articule de Montréal et « Ve Forum » à la Maison de la culture Frontenac également de Montréal. Micheline Durocher participe à la Biennale du dessin de l’estampe et du papier matière d’Alma et au Symposium international de l’offset d’art de Trois-Rivières. L’artiste est boursière du Conseil des arts et des lettres du Québec à plusieurs reprises et son travail fait partie des collections de la Banque d’œuvres d’art du Conseil des arts du Canada, du Musée du Québec, de la Bibliothèque nationale du Québec et de la Bibliothèque nationale d’Ottawa.

 

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1997

Say a Word 

Bourget Academy, Concordia university, Montreal, Canada

In this work, I created a visual essay to investigate the system of information that are the medical/psychiatric dossier and the computer. A few years ago, I retrieved my grandmother’s  medical/psychiatric dossier – I was surprised by how much it left out, how she was left out. This experience inspired my project. The questions that arose  during the bureaucratic retrieval  period instigated my research and project. My interest is not the aesthetics of what is represented bu how it is framed, how one culturally frames it. I wanted to analyse the system, the codes of information such as found in the medical dossier and the computer.

I  constructed a piece which would not make it possible to know the whole, the everything, the complete story, the whole of you, of me, of us, of them. This is what I find most compelling, the limits of data, to displace the points of reference, to create an alternative to totalizing knowledge and to create a subject which was constantly in process.

To this end, I assigned a new role to the navigation tools of the computer interface and messed with its codes, cursor, screen etc.,  I seeked to invite the viewer to act and to create associative leaps of imagination from the images of dossiers, children’s books, photographs, recordings which he might find in the data base.

Much of the inspiration for this piece is derived from the story of Anna O. (Bertha Pappenheim (1859–1936). Anna O.  was the case study in the book “Studies on Hysteria” by Josef Breuer and Sigmund Freud.

The choice of location for the exhibition was motivated by my desire to have the language of this piece rewritten within reality, in this case in an institutional building instead of a gallery. The Bourget Academy (1915), a public school till the 70’s, was also used by the Montreal‘s School of Sociology and Social Work where Catholic social workers were trained in the early 1920’s.

 

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1997

By the Skin of her Teeth

Open Studio Gallery, Toronto,  Canada